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vendredi, 15 juillet 2016

De Castelbajac

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jeudi, 14 avril 2016

Le piège de Lovecraft - Le livre qui rend fou.

 

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Lorsqu’au giron de la lune morte

Dans l’ombre déchaînée aux replis de ténèbres

Le Souffle retentit au son d’un cor sans âge

Que les spectres glissant sur le lac de glèbe

Hululent dans des reflets d’eaux-fortes

Retentit la voix profonde des souvenirs anciens

Pour annoncer des limbes sa venue

Et s’épancher entre les arbres nus

Sors ! Sors !

– N’est pas mort qui à jamais dort.

Spencer WILLETT,

Melancholia ex Tenebris

 

Cher Monsieur Houellebecq,

CECI N’EST PAS UN CANULAR. Je sais votre passion pour cet écrivain maudit que l’on nomme H.P. Lovecraft. C’est pourquoi je vous écris aujourd’hui, depuis l’asile d’Arkham, où Ils m’ont condamné au silence. C’est aussi pourquoi Ils m’ont laissé le faire, et ont demandé l’autorisation de votre éditeur, de votre agent, et en définitive, de vous. Merci d’avoir accepté de lire ces lignes. Monsieur Houellebecq, je sais que vous seul, sans doute, pourrez saisir ce que je veux dire. Ils ne me croient pas. Ils ne croient rien de ce que je leur dis, mais à vous, je le sais, à vous aussi, il a été donné de contempler les Sphères Extérieures, de réunir les Sels, et de jeter un oeil au-delà de l’abîme. N’est-ce pas ? Je sais que vous L’avez approché – je veux dire Celui d’En Haut, vous savez de Qui je parle. Je parle de Lui et de Tous Ses Semblables, les Dormeurs et les Rampants, les Devanciers et les Marcheurs, Monsieur Houellebecq – oh, ne faites pas comme si vous ne compreniez pas. Pas vous, pas vous aussi ! Et souvenez-vous que vous n’êtes vous même qu’un jouet entre Ses mains. Je parle de cette abomination qui gît au-delà de l’Espace et du Temps, et je sais que vous, vous me prendrez au sérieux. Monsieur Houellebecq, s’il vous plaît, dites-leur que je ne suis pas fou. Oui, c’est insensé… Mais vous êtes mon dernier espoir !

 

 

mercredi, 23 mars 2016

Les hommages émus des dessinateurs

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samedi, 19 mars 2016

Voici le VRAI MOHAMMED et le faux coran - Hanna Zakarias

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Nous n’écrivons pas un roman sur Mohammed. Nous écartons, par ailleurs, toutes les billevesées débitées depuis des siècles sur les origines et les dévelop­pements historiques de l’Islam. Nous nous en tenons aux conclusions, qu’on a qualifiées de « rigoureuses et précises », qui sont celles de notre précédent ouvrage intitulé De Moïse à Mohammed, conclusions qui se résument en quelques points extrêmement nets.

Nous n’écrivons pas un roman sur Mohammed.

Nous écartons, par ailleurs, toutes les billevesées débitées depuis des siècles sur les ori­gines et les développements historiques de l’Islam. Nous nous en tenons aux conclusions, qu’on a qualifiées de c rigoureuses et précises, qui sont celles de notre précédent ouvrage in­titulé De Moïse à Mohammed, conclusions qui se résument en quelques points extrêmement nets.

  1. — L’Islam n’est que le judaïsme expliqué aux Arabes par un rabbin.
  2. — Mohammed n’a jamais été inspiré par Dieu. Il n’est ni Prophète, ni révélateur d’une nouvelle religion. Tout ce qu’on peut lui concéder, c’est de s’être converti au judaïsme sous la pression de sa femme Khadidja, juive de naissance, et d’avoir aidé son instructeur, le rabbin, dans son plan de judaïsation de l’Arabie en prêchant à ses compatriotes la religion de Moïse.
  3. — Si Mohammed ne fut d’aucune façon prophète, il ne fut pas davantage écrivain, ni dépositaire d’une nouvelle pensée du Souverain Créateur. Le Coran n’a été ni révélé par Allah qui n’a jamais été un dieu spécifique des Arabes, ni écrit par Mohammed. Il a été composé et rédigé par un Juif, le même qui instruisit son élève Mohammed dans la religion du Mont Sinaï.
  4. — Ce Coran primitif, duplicata arabe du Coran hébreu de Moïse, a été rédigé par un Juif qui fut véritablement le créateur de la langue religieuse arabe. Il a réellement existé à l’époque de Mohammed et des grandes querelles mecquoises du début du VIIe siècle, mais il est aujourd’hui perdu. Ce que les musulmans nous présentent comme leur Coran n’est pas un Coran, c’est-à-dire un livre de prières, conforme au Coran de Moïse — le seul Coran religieux d’après les Juifs —, destiné à être lu et commenté dans les mosquées, soeurs des synagogues, mais un livre d’anecdotes, d’histoires, une sorte de rapport établi par le rabbin instructeur de Mohammed et rédacteur du Coran arabe. Il faudrait par conséquent mettre au pilon toutes les couvertures de ce livre et recomposer une première page ayant pour titre : Les Actes de l’Islam.

Ces Actes rédigés par un Juif constituent la seule source authentique qui nous permette de connaître les origines de l’Islam, en d’autres termes, les origines de la judaïsation de l’Arabie, dont le rabbin de La Mecque, Khadidja et son mari Mohammed furent les premiers ouvriers. Nous n’utiliserons que cette seule source, refusant catégoriquement de reproduire aucune des fantaisies des traditions musulmanes contenues dans la Sira, que le P. Lammens a définitive­ment chassées du domaine de l’histoire, et que même les musulmans un peu formés dans les sciences exactes ne prennent plus au sérieux. Il en est des traditions musulmanes comme des caravanes dans le désert. Le voyageur qui serait en queue de cette caravane, voyant l’intermi­nable suite de chameaux avancer lentement et pesamment, aurait l’impression d’un convoi en sécurité. Mais si jamais l’idée lui vient de remonter cette caravane, il se trouvera en face d’un âne‑conducteur. Nous pouvons conseiller aux musulmans de remonter à travers les siècles aux origines de leurs traditions. « L’ensemble de la Sira » écrit le P. Lammens, « n’est que bro­derie et imagination ».

Seule, une étude critique des Actes de l’Islam, appelés faussement Coran, peut nous four­nir une base solide pour une reconstitution des origines de l’Islam, ou conversion de l’Arabie au judaïsme.

  1. — Si les Actes de l’Islam ont été composés, rédigés et écrits en arabe par un Juif, il est inimaginable que l’on puisse trouver dans ce livre des attaches chrétiennes. De fait, ce livre est foncièrement antichrétien. Tout essai de rapprochement direct entre musulmans et chrétiens ne peut être qu’un rapprochement sur pilotis, voué tôt ou tard à un craquement catastrophique. L’Islam n’existe pas comme religion spécifique. Il n’existe dans le bassin mé­diterranéen qu’une seule révélation originelle : la Révélation faite par Yahwé à Moïse sur le Mont Sinaï, terre juive par excellence ; révélation mosaïque qui constitue le noyau originel du judaïsme. Ce judaïsme usé, qui avait échoué il y a bientôt deux mille ans dans un pharisaïsme sans vie, découlant lui-même de la codification mosaïque, a été revigoré, revivifié, transfor­mé par la Révélation de Jésus, fils de la Vierge Marie, Dieu lui-même à l’égal du Créateur. Le judaïsme sortait grandi de cette Révélation chrétienne, épanouie en christianisme. Si le chris­tianisme est en continuation du judaïsme mosaïque, il contient cependant du nouveau. Il est une lumière nouvelle jetée sur le monde. Mais dans l’islamisme, il n’y a rien d’original ; c’est une flamme ancienne communiquée à une nouvelle lampe. C’est la vieille loi sinaïque trans­portée à La Mecque. Dans le bassin méditerranéen, la question religieuse est à débattre entre Juifs et chrétiens. Les musulmans, qui ne sont que des Arabes transformés en Juifs depuis le début du VIIe siècle, ne peuvent avoir aucune part à ce dialogue. Les seules parties intéressées sont les tenants des Révélations originelles méditerranéennes : les Juifs issus de la Révélation de Moïse, et les chrétiens issus de la Révélation du Christ-Jésus. En d’autres termes, il y eut communication divine faite par Yahwé au Mont Sinaï ; Dieu a donné son dernier message il y a vingt siècles en Palestine ; mais jamais Dieu n’a parlé aux Arabes, ni directement, ni par un prophète. Mohammed est une invention d’une juive, Khadidja, et d’un rabbin de La Mecque. Il n’est ni prophète, ni révélateur, ni compositeur du Coran. Jamais il n’a fondé de religion. Si on l’interrogeait comme témoin du problème religieux de l’Arabie, il ne pourrait que répéter les histoires apprises du rabbin.

 

samedi, 14 novembre 2015

Conclusion de Mère Thérésa

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Je suis Paris

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jeudi, 05 novembre 2015

Dictionnaire horrifié de la souffrance animale : Civard-Racinais Alexandrine

 

 

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Avant-propos.

Je ne suis pas une passionaria de la cause animale ni une de ces végétariennes prosélytes que certains se plaisent à caricaturer. En tant que « deux-pattes », comme George Orwell appelait les humains dans La Ferme des animaux, je mange de la viande sans faire pour autant l’apologie du carnivore1. En revanche, je ne veux ni ne peux cautionner de quelque manière que ce soit l’élevage industriel et la façon dont les animaux dits de rente vivent et meurent aujourd’hui. L’élevage hors-sol tel qu’on le pratique en France est en effet la principale cause des souffrances infligées aux bêtes, dont cet ouvrage propose la recension (sans viser à l’exhaustivité tant celles-ci sont variées et à géographie variable). L’expérimentation animale n’est pas en reste, bien que des progrès aient été réalisés ces dernières années – aux échelles nationale et européenne – afin de limiter le nombre d’animaux « utilisés » et d’encourager le développement de méthodes substitutives. Certaines de nos activités de loisirs – chasse, pêche, spectacles de cirque, visites de zoos… – ne sont pas neutres. Sources de plaisir pour les uns, elles génèrent des douleurs ou des souffrances, parfois aiguës, pour les autres. Les quelques situations détaillées dans ce Dictionnaire horrifié de la souffrance animale en disent long sur les choix et les errements de notre société, sur nos relations avec les animaux domestiques ou notre rapport à la nature. Loin de tout discours moralisateur, mon propos est de nourrir – mieux encore qu’un bifteck ne saurait le faire – votre réflexion, voire votre action. ...

19:10 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

mercredi, 04 novembre 2015

Le travail et la loi - Robert Badinter & Antoine Lyon-Caen

 

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Depuis quarante ans, la France souffre d’une grave maladie sociale : le
chômage de masse. Les chiffres sont là, impitoyables :
– 1975 : 700 000 demandeurs d’emploi
– 1985 : 2,1 millions
– 1995 : 2,6 millions
– 2005 : 2,4 millions
– 2015 : 3,5 millions
Encore ne s’agit-il là que du chômage total. Si l’on prend en compte
les diverses formes du chômage partiel, on arrive au chiffre effrayant de
6 millions de personnes qui ne bénéficient pas en France d’un travail à
temps plein, d’un salaire régulier ni de tous les avantages légaux de la
protection sociale .
De surcroît, ce ne sont pas les seuls chômeurs qui se trouvent affectés
par ce mal. Le chômage est devenu angoisse familiale et névrose
collective. Les parents redoutent de voir leurs enfants en fin d’études ne
pas trouver un emploi à la mesure de leurs compétences, pis encore de ne
pas en trouver du tout. Les adultes encore dans la force de l’âge
craignent, si leur entreprise ferme ou procède à des licenciements
économiques, de ne plus obtenir un poste convenant à leur qualification,
ni même un emploi. Chaque conjoint craint pour l’avenir professionnel
de l’autre. Et tous deux pour celui de leurs enfants. Ainsi, dans notre
société, si le chômage ne nous atteint pas tous, chacun en est directement
ou du moins indirectement affecté, ne serait-ce que par le poids des
indemnités et le coût économique qu’il implique. Un climat anxiogène
imprègne l’ensemble de la société française, dont le chômage de masse
est une caractéristique déterminante.

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19:11 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 02 novembre 2015

Le livre noir de l'agriculture - Isabelle Saporta

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Vous souvenez-vous des Shadoks, ces étranges oiseaux qui passaient leur vie à pomper, pomper, pomper et à inventer des machines toujours plus absurdes ? Les Shadoks, aujourd’hui, c’est nous, ou plutôt notre agriculture. Malgré son coût prohibitif, celle-ci ne respecte ni le pacte social qui la lie aux paysans, ni le pacte environnemental qui la lie aux générations futures, ni même le pacte de santé publique qui la lie à chacun de nous. Les ressources d’eau sont gaspillées, polluées. Nous recevons chaque jour dans nos assiettes notre dose de pesticides et autres résidus médicamenteux. L’agriculteur ne s’en sort plus, et il est injustement voué aux gémonies, lui qui n’est que le bouc émissaire d’un système qu’il subit. La confiance est rompue. Pendant deux ans, Isabelle Saporta a parcouru les campagnes françaises. Dans cette enquête, elle met au jour l’absurdité du système, en le remontant de la fourche à la fourchette, du cours d’eau pollué aux cancers environnementaux provoqués par les pesticides, des animaux trop traités à l’antibiorésistance. La conclusion semble s’imposer : puisque notre agriculture pose plus de problèmes qu’elle n’en résout, il est urgent de changer de cap et de revenir à davantage de raison. Mais si tout le monde s’accorde sur le constat d’échec, aucun responsable politique ne veut prendre le risque de s’attaquer aux fondements de l’agriculture intensive. Loin de se contenter de brosser un tableau alarmiste, Isabelle Saporta avance des solutions simples. Pour les trouver, il suffit de savoir écouter ceux qui connaissaient le monde avant son délire productiviste. Ceux qui, aujourd’hui, travaillent d’arrache-pied à remettre les champs dans les sillons du bon sens paysan.

17:45 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 20 octobre 2015

Carlos Castaneda


« L'art du guerrier consiste à équilibrer la terreur
d'être un homme avec la merveille d'être un homme. »


  Carlos Castaneda

12:31 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 29 septembre 2015

Père Joseph Folliet (1903-1972)

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Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes.

Ils n'ont pas fini de s'amuser.

Joseph Folliet

 

La Prière du Père Joseph Folliet « Au bout de la mort, il n’y a pas la mort mais la Vie » :

« Au bout de la route, il n’y a pas la route mais le terme du pèlerinage. Au bout de l’ascension, il n’y a pas l’ascension mais le sommet. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit mais l’aurore. Au bout de l’hiver, il n’y a pas l’hiver mais le printemps. Au bout de la mort, il n’y a pas la mort mais la Vie. Au bout du désespoir, il n’y a pas le désespoir mais l’Espérance. Au bout de l’humanité, il n’y a pas l’homme mais l’homme-Dieu. Au bout de l'Avent, il n'y a pas l'Avent, mais Noël ! Amen. »

17:26 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 17 septembre 2015

Matricule 728 - Servir & Se faire salir, Mon Histoire (2015) - Bernard Tétrault - Stéfanie Trudeau

 

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« En lisant ce témoignage inédit, vous découvrirez derrière

l’armure de la tristement célèbre Matricule 728, une femme

de coeur, honnête, et dédiée corps et âme à son métier de

policière. Vous constaterez, comme nous, qu’elle a été

conspuée et mise au ban de la société sans aucune raison

valable au cours de ce printemps étudiant de 2012, où notre

société avait perdu ses repères. Vous allez vivre avec elle sa

véritable descente aux enfers, une descente qu’on ne souhaite

à personne, uniquement attribuable au fait qu’elle a effectué

son travail à la lettre, comme son serment de policière le lui

dictait et comme ses supérieurs le lui commandaient. Nous la

remercions de nous avoir fait confiance. »

 

 

 Ses défenseurs, Mes Jean-Pierre Rancourt et Célina St-Francois

14:49 Publié dans Blog, Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 03 septembre 2015

L’enfant de la plage

 

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L’enfant de la plage

 

C’est une plage vide où s’étalent les vagues

Déversant des bateaux remplis de réfugiés

Transis de froid de faim dont les esprits divaguent

Vers de lointains pays où ils seront piégés

                                           

Là, un enfant très jeune étendu sur le sable

S’est noyé comme un rat, ainsi que ses parents.

Un sauveteur tardif devant l’inoubliable

Reste muet et figé, le cœur plein de tourments.

 

Couché sur le côté, raide mort. Il dérange !

Sorti d’un cauchemar pour devenir un ange.

Le soleil le réchauffe et le sel le durcit.

 

Il dormira enfin dans une bonne terre

Offrez-lui braves gens des fleurs, une prière.

De là-haut, il sourit et il vous dit merci.

 

 

Gaudeamus (4 Septembre 2015)

Qui est cet enfant ?

 

 

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Qui est cet enfant ?

Le monde est indifférent

Moi, avant les autres !

10:26 Publié dans Blog, Haïkus | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 29 août 2015

Casanova, L’aventure – Alain Jaubert

Discite grammatici cur mascula nomina cunnus

Et cur femineum mentula nomen habet.

soit :

« Dites-nous, grammairiens, pourquoi le con a un nom masculin

Et pourquoi la mentule a un nom féminin. »

Et le jeune garçon, après un moment de réflexion, répond :

Disce quod a domino nomina servus habet.

C’est-à-dire :

« C’est que l’esclave a le nom de son maître. »

 

 

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WILHELM MÜLLER & FRANZ SCHUBERT

Die Augen schließ’ ich wieder,

Noch schlägt das Herz so warm.

Wann grünt ihr Blätter am Fenster ?

Wann halt’ ich mein Liebchen im Arm ?

Je referme les yeux,

Mon cœur bat toujours ardemment.

Quand reverdiront les feuilles à la fenêtre ?

Quand tiendrai-je mon amour entre mes bras ?

WILHELM MÜLLER & FRANZ SCHUBERT,

Le Voyage en hiver.

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vendredi, 28 août 2015

Travailler, moi ? jamais ! - L'abolition du travail - Bob Black

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heureux possesseur d’une liseuse, je numérise quelques livres de ma bibliothèque, des Anticipations, des bouquins de gare, des polars pourris et d’autres de ces œuvres que personne ne réimprime ni ne réédite en version électronique mais que l’on ne trouve a des prix prohibitifs sur les sites d’enchères. Et comme c’est un travail de titan, ce serait dommage qu’il ne profite qu’à une personne…


Parce qu’on ne peut vivre que de SF et d’eau fraîche, je récupère aussi quelques textes emblématiques de la pensée anarchiste, les remets en page pour les distribuer au plus grand nombre.


Je ne cherche pas à faire une intégrale, les œuvres que je distribuerais n’ont pas toutes la même portée politique, je ne ferais pas de l’encyclopédisme non plus, justes des texte à lire, digérer, réfléchir.

 

Bonne lecture AB

   

Description

 

Bob Black est né à Détroit en 1951. il est diplômé en droit et en sciences sociales. De 1977 à1983, il a constitué à peu près seul la Dernière Internationale, consacrée à la production d'affiches à tendance anarchiste l situationniste l absurdiste. il a écrit des articles et des essais dans des centaines de périodiques, la plupart à faible tirage, mais aussi dans le Wall street Journal, le Village Voice, L'Abolition du travail (1985), dont ce texte est extrait, a été traduit dans sept langues. La plupart de ses essais ont été réunis dans trois recueils : The Abolition of Work and Other Essays (1985), Friendly Fire (1992) et Beneath the Underground (1994). Il a également collaboré à l'édition de deux anthologies, l'une de divagations (1989), l'autre de diatribes contre le travail (1990). il vient de publier Anarchy alter Leftism.

11:19 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 25 août 2015

La Véritable Histoire de Robinson Crusoé - Ricardo Uztarroz

 

robinson.jpgUn corsaire écossais, Alexander Selkirk, forte tête et excellent marin, se querelle avec son capitaine lors d'une escale dans une île déserte chilienne, Mas a Tierra. Il exige qu'on le débarque, certain qu'un navire le recueillera bientôt. Erreur fatidique, car il y reste quatre ans et quatre mois. C'est ici que réalité et fiction divergent. Le héros de Defoe réinvente la société sur son île, mais le vrai Alexander Selkirk est réduit à l'état d'animal, renvoyé à l'origine de l'humanité. Sur l'île, rebaptisée Robinson Crusoé en 1966. de nombreux marins furent de fait abandonnés, contre ou de leur plein gré...

 

18:00 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 20 août 2015

Arthur Schopenhauer

Sic leve, sic parvum est, animum quod laudis avarum
     Subruit ac reficit.

(Tellement ce qui abat ou réconforte une âme avide de louange peut être frivole et petit.)

Arthur Schopenhauer

11:03 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 18 août 2015

Pour en finir avec ceux qui vous pourrissent la vie - Hélène Jacob

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Pour en finir avec ceux qui vous pourrissent la vie. Comment gérer les individus toxiques de son entourage et s'en débarrasser, afin de retrouver la sérénité et d'investir mieux et durablement dans des relations bénéfiques, tant professionnelles que personnelles. Notre capacité à bien vivre dépend souvent de la façon dont nous nous entourons, et des influences que notre famille, nos amis, nos collègues ou même de vagues connaissances peuvent exercer sur nous. Les « autres » jouent un rôle majeur dans notre développement personnel et notre épanouissement…, mais peuvent aussi transformer notre quotidien en cauchemar éveillé ! -Faut-il être ami avec tout le monde ? -Peut-on tout accepter de ses proches ? -Faut-il donner de son temps ou de son énergie à tous ceux que nous côtoyons, de façon identique ? -Les autres nous veulent-ils toujours vraiment du bien ? -Toutes les influences extérieures se valent-elles ? Parce que la réponse à ces questions est clairement négative, découvrez vite comment, vous aussi, en finir avec les nuisibles qui vous gâchent l’existence. Repérez les personnes toxiques, sachez leur échapper, cultivez des amitiés positives et…retrouvez le sourire ! En bref : Votre environnement vous façonne – Identifiez les forces de répression – Protégez-vous des influences toxiques – 14 approches pour 14 nuisibles – Comment bien vous entourer – 10 astuces express antinuisibles – Comment ne pas devenir le nuisible des autres…

 

Tous à la poubelle

Cons, nuisibles,emmerdeurs

Qu'ils aillent ailleurs.

14:34 Publié dans Haïkus, Livre | Lien permanent | Commentaires (0)