lundi, 24 mars 2008
Saint Isaac le Syrien
alors le ciel et la terre seront en paix avec toi. »
Saint Isaac le Syrien
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vendredi, 21 mars 2008
Nelson MANDELA
C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraye le plus.
Nous nous posons la question : qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ?
Vous êtes un enfant de Dieu. Vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous.
Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus, elle est en chacun de nous et en laissant briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres.”
Nelson MANDELA
Extrait du discours d’investiture
à la présidence en 1994.
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lundi, 25 février 2008
Citation
que l’on a le plus d’intérêt à savoir. »
Proverbe chinois
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vendredi, 02 novembre 2007
Lorsque viendra le printemps...
Lorsque viendra le printemps,
si je suis déjà mort,
les fleurs fleuriront de la même manière
et les arbres ne seront pas moins verts
qu'au printemps passé.
La réalité n'a pas besoin de moi.
J'éprouve une joie énorme
à la pensée que ma mort n'a aucune importance.
Si je savais que demain je dois mourir
et que le printemps est pour après-demain,
je serais content de ce qu'il soit pour après-demain.
Si c'est là son temps, quand viendrait-il sinon
en son temps ?
J'aime que tout soit réel et que tout soit précis ;
et je l'aime parce qu'il en serait ainsi, même
si je ne l'aimais pas.
C'est pourquoi, si je meurs sur-le-champ, je meurs content,
parce que tout est réel et tout est précis.
On peut, si l'on veut, prier en latin sur mon cercueil.
On peut, si l'on veut, danser et chanter tout autour.
Je n'ai pas de préférences pour un temps où je ne pourrai
plus avoir de préférences.
Ce qui sera, quand cela sera, c'est cela qui sera ce qui est.
Fernando PESSOA ( Le Gardeur de Troupeau) Gallimard 1960
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lundi, 22 octobre 2007
Les fusillés de Châteaubriant de Réné-Guy Cadou
Les fusillés de Châteaubriant de Réné-Guy Cadou
(Pleine Poitrine 1946)
Ils sont appuyés contre le ciel
Ils sont trente appuyés contre le ciel
Avec toute la vie derrière eux
Ils sont plein d'étonnement pour leur épaule
Qui est un monument d'amour
Ils n'ont pas de recommandations à se faire
Parce qu’ils ne se quitteront jamais plus
L'un d'eux pense à un petit village
Où il allait à l'école
Un autre est assis à sa table
Et ses amis tiennent ses mains
Ils ne sont déjà plus du pays dont ils rêvent
Ils sont bien au-delà de ces hommes
Qui les regardent mourir
Il y'a entre eux la différence du martyre
Parce que le vent est passé là où ils chantent
Et leur seul regret est que ceux
Qui vont les tuer n'entendent pas
Le bruit énorme des paroles
Ils sont exacts au rendez-vous
Ils sont même en avance sur les autres
Pourtant ils disent qu'ils ne sont plus des apôtres
Et que tout est simple
Et que la mort surtout est une chose simple
Puisque toute liberté se survit
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samedi, 13 octobre 2007
L'Enfant et le Sage
Par une belle journée ensoleillée, un sage roulait dans sa voiture, perdu dans de profondes réflexions. Soudain, la voiture s’arrêta. Le sage se pencha au-dehors et aperçu, au milieu du chemin, un petit garçon qui jouait à construire une ville avec des tessons.
Le gamin le regarda , mais ne bougea pas pour dégager le chemin. Le sage lui dit :
- Eh bien, gamin, tu ne veux pas laisser passer ma voiture ?
Le petit bout d’homme le regarda de bas en haut et répondit :
- Je n’y suis pour rien, monsieur. Vous voyez bien que je construit une ville. Et ce n’est
pas au mur d’une ville de s’écarter pour laisser passer une voiture, mais à la voiture de suivre le mur de la ville.
Le sage fut étonné de cette réponse. Il mit pied à terre, s’approcha de l’enfant et lui dit :
- Dis donc, gamin, tu me parais d’une intelligence peu commune pour ton âge !
L’enfant répondit :
- Pourquoi donc ? À l’âge de trois jours, le lièvre court et saute dans les champs.
Pourquoi ne saurais-je pas deux ou trois petites choses à l’âge de sept ans ?
Le sage sourit et demanda :
- Si tu veux, je vais te poser plusieurs questions. Et si tu réponds, je pourrais croire, en
effet, que tu as quelques connaissances.
- Je suis prêt dit l’enfant.
- Dans ce cas, repris le sage, dis-moi quel est le feu qui ne donne pas de fumée ? Quelle
est l’eau où ne vit aucun poisson ? Qu’elle est la montagne qui n’a pas de pierres. Quel est l’arbre sur lequel ne pousse aucune branche ?
L’enfant réfléchi et répondit :
- Le feu du ver luisant n’as pas de fumée. L’eau de source ne contient pas de poissons.
La dune de sable n’a pas de pierres. Sur un arbre pourri, il ne pousse pas de branches.
Le sage écoutait plein d’admiration, les réponses de l’enfant. Mais il n’avait pas eu le temps de placer un mot que les yeux du gamin pétillèrent de malice et qu’il dit :
- Je peux à mon tour vous demander quelque chose ?
- Demande ! répondit le sage.
- Mais à une condition : si vous ne trouvez pas la réponse, vous devez contourner ma ville de tessons.
- Je suis prêt ! dit le sage en souriant.
- Dite-moi combien il y a d’étoiles dans le ciel.
- Mon cher enfant, dit le sage, pourquoi m’interroges-tu sur des choses aussi éloignées
de nous ? Questionne- moi sur quelque chose de plus proche et je te répondrai.
- Eh bien, repris le gamin, dites-moi, s’il vous plaît, combien il y a de poils dans vos
sourcils ?
Le sage se mit à rire. Vraiment, c’est un comble ! Un petit enfant s’était montré plus fin que lui !
Il remonta en souriant dans sa voiture et ordonna au cocher de contourner la ville de tessons que construisait le gamin.
Contes de Chine ( La farandole)
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mercredi, 19 septembre 2007
Inscription gravée sur le linteau d'un cimetière
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lundi, 03 septembre 2007
Comment trouver Dieu
Un ermite était en train de méditer
au bord de la rivière quand un jeune
homme l'interrompit.
- Maître, je veux devenir votre
disciple.
- Pourquoi cela ? répond l'ermite
- Parce que plus que tout autre
chose, je veux trouver Dieu.
Souple et vif à la fois, le sage
bondit sur ses jambes, attrapa le jeune
homme et le plongea tout habillé dans
la rivière.
Il lui maintint la tête sous l'eau
pendant plus d'une minute. L'autre se
débattait comme un beau diable.
Alors le maître lui tira la tête hors
de l'eau, sans ménagement. Tandis que
la victime reprenait ses esprits, il
lui demanda :
- Dis moi, vers quel point
convergeaient tous tes désirs quand tu
avais la tête sous l'eau ?
- L'air... je... heu... je voulais de l'air !
- Parfait, dit le maître. Maintenant
retourne chez toi et reviens me voir
quand tu désireras Dieu autant que tu
as désiré cet air.
Souvent, nous envions ceux qui disent
avoir trouvé Dieu. Comme eux, nous
voudrions avoir une foi inébranlable.
Et nous sommes tenter de confondre le
spirituel avec le vital.
"Croire en Dieu ne suffit pas, il
faut aussi croire en la vie"
M. de Cornouardt
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dimanche, 02 septembre 2007
Reymond DEVOS
Ses plus belles créations.
* Si ma femme doit être veuve un jour, j'aimerais mieux que ce soit de
mon vivant.
* Se coucher tard nuit.
* La grippe, ça dure huit jours si on la soigne et une semaine si on ne
fait rien.
* Un croyant, c'est un antiseptique.
* Même avec Dieu, il ne faut pas tenter le Diable.
* C'est pour satisfaire les sens qu'on fait l'amour, et c'est pour l'essence
qu'on fait la guerre.
* La plupart des gens préfèrent glisser leur peau sous les draps plutôt
que de la risquer sous les drapeaux.
* Il paraît que on prête l'oreille, on entend mieux. C'est faux! Il m'est
arrivé de prêter l'oreille à un sourd. Il n'entendait pas mieux.
* Dès que le silence se fait, les gens le meublent.
* Qui prête à rire n'est jamais sûr d'être remboursé.
* Le rire est une chose sérieuse avec laquelle il ne faut pas plaisanter.
* On a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont
toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort.
* Une fois rien, c'est rien; deux fois rien, ce n'est pas beaucoup; mais
pour trois fois rien, on peut acheter quelquechose, et pour pas cher.
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mercredi, 22 août 2007
Spinoza
"La satisfaction intérieure est en
vérité ce que nous pouvons espérer de
plus grand."
Spinoza
09:14 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 20 août 2007
Fernando Pessoa
« Nous sommes nés au crépuscule et mourons à l'aube. Et ne connaissons du monde que la totale obscurité. Comment nés des ténèbres en connaître la vérité Conséquences sombres de l'absence de leur lueur ? »
Fernando Pessoa
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vendredi, 17 août 2007
ALAIN
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dimanche, 12 août 2007
Je T'aime
Quand tu dors près de moi , j'ai le cœur au bout des doigts
Je t'aime
Quand tu pleures dans mes bras j'ai les yeux qui pleurent pour toi
Je t'aime
Je te ferais dormir d'amour et de plaisir
Viens je t'emmène où l'on emmène pas
J'allumerais des soleils la nuit pour qu'elle soit plus belle
Je t'aime
Je ferais valdinguer les frontières du monde entier
Je t'aime
Je te ferais bâtir des châteaux et des empires
si tu m'emmènes où l'on emmène pas
On ne reviendra pas
On ferra des voyages à déchirer les nuages
Je t'aime
On ferra toi et moi des choses qui n'existent pas
Je t'aime
Je te ferais venir où l'on ne peut pas mourir
Viens je t'emmène où l'on emmène pas
on ne reviendra pas
© Michel Polnareff
19:10 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)
Albert Einstein
"A force de lire des ouvrages de vulgarisation scientifique, j'ai bientôt eu la conviction que beaucoup d'histoires de la Bible ne pouvaient pas être vraies. La conséquence a été une véritable orgie fanatique de libre pensée accompagnée de l'impression que l'Etat trompe intentionnellement la jeunesse par des mensonges. C'était une impression écrasante. Cette expérience m'a amené à me méfier de toutes sortes d'autorité, à considérer avec scepticisme les convictions entretenues dans tout milieu social spécifique : une attitude qui ne m'a jamais quitté, même si par la suite, parce que j'ai mieux compris les mécanismes, elle a perdu de son ancienne violence."
Albert Einstein / 1879-1955
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vendredi, 29 juin 2007
Lao-Tseu
Lao-Tseu
08:25 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 25 juin 2007
WOODY ALLEN
11:48 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 29 mai 2007
Teilhard de Chardin
Un jour, quand nous aurons maîtrisé les vents, les vagues, les marées
et la pesanteur, nous exploiterons l'énergie de l'Amour...
Alors pour la deuxième fois dans l'histoire du Monde,
l'homme aura découvert le feu.
Teilhard de Chardin
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jeudi, 03 mai 2007
Au revoir Grégory
AU REVOIR GREGORY
L’association " Vaincre la Mucoviscidose " est en deuil. Grégory Lemarchal vient de nous quitter. Il a combattu avec courage un ennemi qui une fois encore l’a emporté. Nous assurons sa famille et ses proches de notre profond soutien.
Garçon talentueux, simple et généreux, il nous a marqué par sa gentillesse, son enthousiasme et sa disponibilité. Il a été le symbole de la résistance et du défi à la mucoviscidose. Sa voix unique, son sourire lumineux, nous disaient qu’un chemin existait qui menait vers le haut, qu’il suffisait de le suivre pour y arriver.
Grégory a rejoint la trop longue cohorte des «mucos » décédés. Nous ne l’oublierons pas comme nous n’oublions pas les autres. Chaque décès est une souffrance, chaque décès est un échec. Nous baissons la tête mais nous ne baisserons pas les bras.
« Grégory chante pour nous, chante encore, nous avons besoin de ta voix qui nous dit que l’espoir est au bout du chemin, qu’un monde sans la mucoviscidose viendra un jour, sans toi mais par la force que tu nous laisses. Au revoir Grégory ».
Jean Lafond, Président de Vaincre la Mucoviscidose.
http://www.vaincrelamuco.org/
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samedi, 24 mars 2007
Partir
Partir
Prendre le train, l'avion ou à pied
Prendre stylo, chapeau, clavier
Partir pour ailleurs et meilleur
Partir pour partir
Partir pour grandir
Partir pour s'ouvrir et découvrir
Partir pour mieux rester là
En équilibre
Libre
15:40 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (0)
Que l'Amour soit ton bouclier
J’ai découvert, par hasard sur Internet : www.francine.boisvert.com , le texte ci-dessous, d’un auteur « Anonyme ». Je le trouve admirable ! Comme le conseille, à juste titre, Francine Boisvert qui a eu la gentillesse de me l’adresser sur Word, enregistrez-le et écoutez-le où imprimez-le et relisez-le souvent et approfondissez-le, vous serez surpris des bienfaits « magiques » qu’il peut vous apporter personnellement, ainsi qu’autour de vous.
Gaudeamus
15:01 Publié dans Citations | Lien permanent | Commentaires (2)