vendredi, 27 janvier 2006
Un jour et une nuit
Je plane sur les toits comme les hirondelles.
Je niche dans ta coiffe, épinglée de clous d’or.
Dans tes ciseaux si doux je cueille des airelles.
Ma tête sur ton ventre où je rêve et m’endors.
Dans les coquelicots, les bleuets des prairies,
Je brasse le soleil de ton corps, nu, parfait.
Sur les autels en fleurs, la Madone je prie.
Reviens-moi en riant des larmes de regret
Un jour et une nuit de joie et de folie,
Dans les rues, un hôtel, nous nous sommes aimés
Mon cœur s’est embrasé et s’est mis en charpie,
Et puis on s’est quitté, avec les yeux mouillés.
Tu étais bien trop jeune, innocente, insouciante.
Moi j’étais déjà vieux et j’avais tout raté.
Je rêvais d’un amour fougueux comme l’enfance.
Tu me l’as bien servi, mais j’en reste blessé.
08:08 Publié dans Poésies sur l'amour, les femmes.. | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Pour récupérer l'argent, j'ai gentiment baffé la conne. "ça c'est à moi. ça c'est ma tune!". Je riais intérieurement. Je savais que cette pute ne pourrait rien. Je l'avais ramassée dans le bois de Boulogne. Première pute. Première demande: "Fais-moi cadeau d'la passe. Ok?" .
Trouve le reste sur http://hirsute.hautetfort.com
Écrit par : Andy Verol | mardi, 31 janvier 2006
Miss Kittin à Sonar, un cauchemar. M'a donné le cafard. Tout le monde sous le chapiteau. Des couleurs. Des grosses lunettes. Des déhanchés de fou.
La suite sur http://hirsute.hautetfort.com
Écrit par : Andy Verol | jeudi, 02 février 2006
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