samedi, 10 décembre 2005
Israéliens, Palestiniens
Supplique
Israéliens, Palestiniens,
Puissiez-vous vous serrer la main.
Les enfants des deux camps
Joueraient ensemble,
Sur les places, les rues
Et ramasseraient côte à côte
les épis dans les champs.
Les femmes pleureraient de joie,
Et sans crainte mettraient au monde des enfants.
Israéliens, Palestiniens,
Je n’ai de parti pris.
Je ne suis d’aucun bord .
Je pense qu’il devient urgent
De vous serrer la main.
Oubliez vos rancunes ,
Oubliez vos rancœurs.
Ils ne vous apportent que le malheur.
O Seigneur Jésus, n’êtes-vous venu
Que pour semer la guerre ?
Vous n’aviez ni chars ni tanks ni avions,
Pour vous défendre de vos ennemis .
Vous fûtes le seul kamikaze
De votre vie,
Par amour pour nous tous, pour eux, pour tous les hommes.
Hélas, votre message
N’a pas été compris.
O revenez Jésus, sur cette pauvre terre.
Elle souffre Elle n’en peut plus
De larmes, de sang, et de guerres.
Israéliens, Palestiniens,
Embrassez-vous,
Serrez-vous la main.
Grâce à ce geste,
Un nouveau genre humain éclairera le monde.
Gaudeamus (mes textes)
14:00 Publié dans POEMES "COUPS DE GUEULE" | Lien permanent | Commentaires (0)
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