mercredi, 12 octobre 2005
Morne nuit
Morne nuit
Morne nuit
De ma mansarde
Je grignote des ardoises grises
Et m’abreuve de pluie
Mon lit est trop grand
Ou trop petit
Au petit matin
Un pigeon picore
Le ciel de mon toit
Je roule et roucoule
Des heures de cendres.
On frappe à la porte
J’accours, j’ouvre,
Tu es là souriante
Dans tes apparats
Féminine jusqu’aux bouts des doigts
Et tout s’illumine à la fois.
20:35 Publié dans Poésies sur l'amour, les femmes.. | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
OUI!!!!!!!!!!!!!!!J'ai bien aimé ce poème, ainsi que les autres d'ailleurs.
bises
Écrit par : Annette | vendredi, 14 octobre 2005
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